La cave a été refaite en 1999, entièrement thermorégulée mais le plus gros progrès depuis 15 ans, selon Gérard Cherrier, est d’avoir divisé par deux le taux de soufre dans les vins. Depuis 2005, les équipes travaillent à comprendre le bio et surtout ses contraintes (« les avantages, on les connaît »), c’est à dire à « améliorer le végétal sans déstructurer les sols en multipliant les traitements… et on prend notre temps pour rester honnête ». Les herbicides ont déjà été abandonnés tout comme les acaricides et les insecticides (remplacés par la confusion sexuelle). Pour le mildiou, la bouillie bordelaise ne marche pas toujours mais le bio, je pense qu’on y est, même sans certification. »
Gérard Cherrier, directeur de production pour « Terre de vins »
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.